Entrepôts - Entrepôt Bon état, pour Acheter, à Paços de Ferreira, Eiriz

Complexe industriel inséré sur un terrain de 3891m² avec 1.575m² de surface totale construite. L’entrepôt principal dispose de 820m² de surface couverte, dont 535m² est une grande salle avec un système aérien d’énergie électrique et hydraulique, implanté dans un lot qui a l’infrastructure routière, l’électricité, le téléphone et le réseau d’approvisionnement en eau.
Plate-forme de déchargement pour un jusqu’à trois camions TIR simultanément.
Rez-de-chaussée composé de : salle de distribution, réception, installation sanitaire, service, bureaux administratifs et salle de réunion.
bureaux et pavillon ayant un accès direct aux issues de secours, ainsi que l’éclairage naturel et les ouvertures extérieures avec la fonction de rénovation de l’air intérieur depuis le pavillon a ADIEBATICO REFROIDISSEMENT, qui offre une différence entre la température extérieure et intérieure jusqu’à 10 ° Celsius, permet des économies d’électricité qui peuvent atteindre 70% par rapport à la consommation par climatiseurs ou similaires et renouvelle environ 22.500m³ d’air, ce qui équivaut à avoir 100% de l’air intérieur renouvelé 12 fois par heure d’utilisation.
L’entrepôt est classé dans le MDP de Paços de Ferreira comme zone mixte de niveau 3, composé d’environ 3 891 m², ce qui permet le logement, les services et l’utilisation commerciale, sans domination de l’un d’eux, ainsi que les activités industrielles et de stockage, à condition qu’ils ne soient pas incompatibles avec les odeurs, les bruits, les fumées et les déchets qui peuvent être inconfortables pour les voisins et les entreprises et les entreprises dans les environs.
Il dispose d’un réservoir d’eau d’une capacité de 6000 litres.
Compresseur d’air comprimé et chaudière à gaz.
Annexe d’une villa de 3 chambres avec surface au sol de 99m²

Financement bancaire :

Habita est partenaire de plusieurs entités financières, permettant à tous ses clients des simulations gratuites du Crédit Logement.

emplacement:

Au nord-ouest de la municipalité de Paços de Ferreira, dans une zone de demi-pente, le complexe est situé dans l’une des zones de plan linéaire de la région, a accès et la sortie des camions TIR.

Points d’intérêt :
L’Église paroissiale est humble, mais son étude révèle certains aspects intéressants. Daté du 19ème siècle. XVII, forme un ensemble précieux, avec ses motifs de calvaire antique, qui sont une partie importante du vaste patrimoine des sculptures de granit du comté. A l’intérieur, mettre en valeur le Chancel, recouvert de tuiles bien entretenues. Dans la sacristie, une belle image du XVIIe siècle de Notre-Dame, qui est préservée, tout comme les Anges Candelaria survivants.

Dans la chapelle latérale de l’Église, la soi-disant chapelle de Notre-Dame de l’Assomption, alias Notre-Dame des Odeurs, est le plus ancien retable du comté, selon D. Domingos de Pinho Brandão. Un magnifique et harmonieux retable du XVIe siècle, avec ses panneaux peints. Au centre, l’image de la Vierge. Au fond, trois tableaux, et au sommet d’autres, plus petits, avec la Sainte Trinité au milieu. Une excellente relique de l’art retabulaire, de la saveur wayiriste tardive.

En héritage de « conscience », Notre-Dame de l’Assomption jouit du droit d’allumer une bougie le dimanche et les jours saints pendant les messes, qui sont religieusement remplies.

Cette chapelle aura appartenu à l’armée de Carvalhosa et est antérieure à l’Église Mère. Aujourd’hui, elle se limite à un autel de cette Église, un bel autel, qui conserve encore son propre clocher.

L’église paroissiale avait autrefois une fresque qui, avec une autre de l’ancienne église de Sanfins, a été témoin du riche passé de la peinture murale du comté. Il ne lui reste plus rien, malheureusement pour destruction.

La chapelle Saint-Antoine date de 1680 et a été construite à la place de Vila Verde. Tombée en ruine, de bonnes intentions l’ont fait reconstruire à Outeiro do Souto, à 300 mètres de sa place d’origine, grâce à l’engagement du Père Amaro dos Santos et de la population en général, qui s’inquiétait du respect du papillon de chapelle d’origine.

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